On pense tous viser le bonheur… et pourtant, chacun replonge dans la même bourde. Vous savez, ce réflexe “tout de suite, tout de moi, tout parfait”. Mais aujourd’hui, j’ai décidé de creuser, de fouiller dans le vif du sujet — du très concret — pour vous révéler ce qui coince vraiment.
Sommaire
Toggle1. L’erreur (invisible) qui sabote tout
Trop souvent, on confond poursuivre ses envies et accrocher son identité à ses envies. On pense : “Si je veux devenir ce modèle Instagram, alors je suis ce modèle.” Grave erreur. Les psys évoquent un concept-clé : l’ego projectif. On place notre valeur hors de nous, dans un idéal. Si on le perd, on perd l’estime de nous-mêmes.
2. Le vrai bonheur, le voici (moins clinquant, plus durable)
Le bonheur solide ne se construit pas sur l’image que l’on renvoie, mais bien sur des racines intérieures :
- La curiosité authentique : explorer des choses sans verdict (« j’aime/déteste ») : se tester, juste pour se connaître mieux.
- Les relations vulnérables : oser dire “j’ai besoin de toi”, “j’ai peur”, “je ne sais pas”.
- L’engagement humble : apprendre, abandonner, recommencer — sans relier tout ça à notre valeur.
3. Un mini exercice à tester dès maintenant
Quand vous sentez la pression de “réussir”, arrêtez-vous. Posez-vous ces questions :
- À quel point j’ai besoin que ce soit parfait ?
- Qu’est-ce que je risque à simplement essayer (et peut-être rater) ?
- Et si j’n’étais que la somme de mes tentatives, non de mes succès ?
Un petit journal de trois lignes — un soir par semaine — suffit pour commencer à désamorcer le piège.
4. La punchline à partager
« Le vrai bonheur ne repose pas sur ce que vous montrez, mais sur ce que vous vivez en silence. »
5. Ce que disent les psys
« Trop de personnes finissent par ne plus savoir qui elles sont hors de leur réussite. Leur estime chute dès que l’échec pointe, et le cercle se répète. »
Les thérapeutes de l’estime recommandent « d’extraire votre valeur de la performance », apprendre à se ressentir sans filtre.
6. Vous, version “racines”
Imaginez-vous dans cinq ans, libre, stable, ouvert·e aux défis sans vous étiqueter “gagnant·e” ou “perdant·e”. Voilà le vrai bonheur — celui qui ne vacille pas quand l’algorithme s’emballe.
Vous voulez plus d’exercices ou un petit format « minute psy » ? Dites-le-moi : je vous prépare ça avec plaisir 😊