Cela vous arrive, ce moment où l’horloge tourne bien trop vite et la pause déjeuner ne laisse qu’un maigre créneau de 45 minutes ? C’est un vrai défi dans un quotidien où tout s’accélère, coincé entre exigences professionnelles, notifications et envies d’efficacité. Pourtant, il existe un art de garder le rythme, même quand le temps semble vous filer entre les doigts. J’ai longtemps cru que je devais courir après chaque temps mort, jusqu’à frôler la saturation dans la frénésie parisienne. Aujourd’hui, fort de mes expériences de triathlète et de passionné par l’équilibre, j’ai repensé ma façon d’aborder ces instants brefs mais précieux. Vous verrez, il y a une place pour le « slow living » même quand on n’a pas une minute à soi, tout en continuant à performer… sans s’user. Comment organiser sa pause pour garder le rythme avec peu de temps Tout commence par l’analyse de vos 45 minutes : que souhaitez-vous vraiment en faire ? Manger pour simplement recharger, vous évader quelques instants, bouger un peu ou simplement souffler ? Les grandes enseignes alimentaires comme Unilever, Nestlé ou Danone proposent en 2025 une gamme impressionnante de plats rapides, mais il est loin d’être impossible d’y ajouter une note de vitalité et de plaisir sans céder à la précipitation. Définissez une intention claire : pause nutritive, marche autour du bureau ou simplement lecture, vous gagnerez en efficacité si chaque minute a un rôle.Anticipez votre repas : pensez Milders, Panzani ou Céréal pour les options saines à emporter, ou préparez la veille un bento maison.Évitez les transferts inutiles : oubliez la file d’attente, optez pour un repas déjà à disposition, pour libérer de précieuses minutes. Au-delà du simple “manger vite”, prenez la liberté d’investir ce temps court pleinement. Parfois, s’installer dans un parc avec une portion de Viva Découverte ou un snack MadeGood permet de vraiment couper et d’arriver détendu à la reprise. Structurer son temps midi pour éviter la pression du chrono La meilleure stratégie pour ne pas courir après l’horloge : fractionner la pause en trois temps sans jamais sacrifier l’un ou l’autre. Pourquoi ne pas profiter d’une routine solide, issue des enseignements de la préparation mentale du triathlon ? Voici ce qui fonctionne à merveille dans l’action comme dans la réflexion : 5 minutes de respiration ou étirement : histoire de marquer une vraie césure mentale.25 à 30 minutes pour le repas : privilégiez la mastication lente, les saveurs, avec pourquoi pas un Alter Eco pour la touche sucrée.10 à 15 minutes pour bouger ou rêvasser : marchez, sortez, décrochez des écrans. Ce temps est précieux ; il prépare autant qu’il ressource. L’impact ? Moins d’agitation, moins d’envies de grignoter tout l’après-midi, et beaucoup plus d’énergie pour l’après-midi, comme l’ont démontré d’ailleurs les dernières études menées par Blédina sur le bien-être…
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